Category: exposition

Durant quatre jours le Terrier des Galoupiaux a accueilli le labomorphe sur une invitation de Clariana. Les enfants se sont emparés de l’atelier mobile comme d’une extension naturelle du Terrier. Présents du montage au départ, ils ont investi tous les temps proposés faisant de chaque étape un nouveau rituel pour le lendemain. Tous les animateurs ont accompagné généreusement le mouvement. Les sculptures-coussins créées et construites par les enfants seront présentes le 30 août pour la nuit d’observation des insectes avec la Soupape Sauvage.

Quelques images de ce temps d’été illuminé par l’énergie de l’enfance.

Durant trois jours le CIIRPO site du Mourier a chaleureusement accueilli le labomorphe.

Quelques semaines avant l’événement, six toisons de brebis vendéennes m’attendaient dans la bergerie pour préparer l’expérience.

Après avoir lavé la laine par fermentation durant une semaine en essayant de conserver l’intégralité des toisons, je l’ai laissée sécher dehors doucement pour profiter de l’effet d’oxygénation des fibres lié à la rosée du matin chauffée par les premiers rayons du soleil .

Le jour J, entre annonce d’orage et passage de dénivelé complexe, une parcelle à l’entrée du site par le chemin des moutonniers m’invite à installer le labomorphe pour quelques heures avant la pluie et le repli dans la bergerie. Installation, puis démarrage du cardage avec les premières participantes.

A l’abri, le cardage a repris, suivi de la préparation des lés à feutrer . Quelques images des différents mouvements.

En préambule de la randonné feutrée, les enfants ont réalisé quelques tests des gilets dans les allées de la bergerie.

Et enfin les balades ont commencé avec les aléas des terrains et leurs qualités.

Une séance de pilates atypique s’est déroulée sous le regard des culs noirs de la ferme familiale Dufour&Cie et des marcheurs. Dans une clairière, sur la route de Ladignac Lelong, le labomorphe a pris sa place pour la première fois en extérieur. Au son du cours de Coralie Beaufils, professeure de Pilates du club, enregistré quelques semaines avant avec des dessins de la séance en main, nous avons tenté de réaliser quelques postures. Des participants se sont joints à nous.

Petit à petit le labomorphe fait sa place et semble s’imprégner en s’inscrivant.

Le labomorphe s’est installé, pour cette journée brunch organisée par l’association du Comptoir de Saint Priest Ligoure, dans la bibliothèque de la commune. Au milieu d’une sélection de livres portant sur la nature, les observatoires à insectes ont prit forme sous les doigts des gens de passage toutes générations confondues. Aurélien, de la Soupape Sauvage, a amené pour l’occasion une lampe avec ampoule UV pour voir l’effet produit sur les surfaces créées.

Quelques images de cette incroyable journée dans l’ambiance festive du Comptoir!

Le 29 avril sera l’occasion de poursuivre le projet entamé lors de la première étape à la médiathèque Markoff de Nexon. A l’occasion d’un brunch festif, organisé par l’association Li en Goure, le labomorphe prendra ses quartiers dans le jardin du Comptoir.

Deux jours d’explorations multiples au sein des Ateliers, dans une ambiance toujours aussi chaleureuse, ont permis la première utilisation des matrices cuites et la mise en place de jeux d’émaillage de contact des mains à la bouche.

Quelques images de cette nouvelle étape!

Les Ateliers du Musée de la Terre accueillent pour la seconde fois le labomorphe. Durant deux jours nous prolongerons les expériences précédentes en abordant l’idée d’un “émaillage de contact” ou encore un “émaillage relationnel”. Les matrices réalisées à l’occasion de la première résidence seront aussi investies avec l’idée de tenter la construction éphémère et pérenne d’une couverture commune.

Avec la matière cartographique fournie par Muriel Lehricy du PNR, j’ai réalisé les premières cartes du périple engagé depuis janvier qui se poursuivra en avril au Comptoir à Saint Priest-Ligoure et aux Ateliers de la Terre pour la seconde partie. Ces cartes en construction seront présentées à l’AAJPN avec la maquette exposée dans le hall.

Quelques images

Nouvelle étape aux Ateliers-Musée de la Terre qui m’ont accueillie durant deux jours. Le labomorphe, encore chargé de ses premières maquettes d’observatoires à insectes réalisées à la médiathèque de Nexon, s’est déployé dans le lieu prêt à recevoir une multitude d’expérimentations. De la “tuile relationnelle” au trempage de textile en passant par la double brique de maintien, le jeu s’est installé, agrémenté de l’activité habituelle de l’atelier avec ses usagers. La suite se fera au printemps!

Une tuile relationnelle, c’est à dire? Une danse des mains à deux avec une tuile par exemple. Quelques images de cette expérience avec les membres du C.A. des Ateliers!